François Francoeur : Sonates à violon seul avec la basse continue, livre 2, sonates 7 à 12
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François Francœur : Sonates à violon seul avec la basse continue, livre 2, sonates 7 à 12

30,00 €
Quantité

Format 22,5 x 32 cm, imprimé sur papier ivoire 100 g
Conducteur 68 pages
Partie séparée basse 40 pages
Partie séparée violon 40 pages
Compositeur François Francoeur
Révision : Emmanuel Rousson.

ISBN-EAN 9782849260937
Référence EB-2-093

9782849260937

Compositeur et violoniste virtuose, François Francœur reste relativement méconnu, alors qu'il côtoya les plus grands, à Versailles et à l'Académie royale de Musique. Il composa nombre de pièces instrumentales et lyriques qui rencontrèrent un vif succès en leur temps.

François Francœur signe ce deuxième livre de sonates pour violon et basse en 1730. La structure de ses sonates, très équilibrée, comprend 4 à 5 mouvements, où se succèdent mouvements italiens (adagio, allegro) et danses françaises (allemande, sarabande, courante, gavotte?). Francœur y développe un style composite et très personnel, où se mêlent influences françaises et italiennes, notamment par les mélismes, coloratures et fioritures, très inspirés de Corelli. Les bariolages, très italiens, côtoient les agréments et les notes inégales à la française. Ces sonates nous interpellent par leur raffinement, leur élégance, leur sobriété. Le style, gracieux et fluide, où se mêlent tendresse et poésie, nous offre des lignes mélodiques expressives et sensibles. La musique y est profonde, ne cédant jamais à un excès de virtuosité.

Autres ouvrages de Francoeur disponibles :
La première partie du livre II (sonates 1 à 6) 
Le livre I (sonates 1 à 10) 

François Francœur, compositeur et violoniste virtuose, est tombé dans l'oubli au XIXe siècle, nous laissant malheureusement peu d'éléments biographiques. Contemporain de Jean-Marie Leclair, Francœur est bien injustement méconnu, eu égard à la grande qualité et à la singularité des ?uvres qu'il a laissées. Il a côtoyé les plus grands et composé nombre de pièces instrumentales et lyriques qui rencontrèrent un vif succès en leur temps. 
François Francœur signe deux livres de sonates pour violon et basse, en 1720 (Ier livre, dédié à la Marquise de Bacqueville) et 1730 (IIe livre). La structure de ces sonates, très équilibrée, comprend quatre à cinq mouvements, où se succèdent danses françaises (allemande, sarabande, courante, gavotte) et mouvements italiens (adagio, allegro), comme autant d'hommages au père de la sonate pour violon, Arcangelo Corelli. Avec la publication de ces deux livres de sonates pour violon, Francœur devint un acteur essentiel du développement de l'école française du violon. 
Il développe dans ces œuvres un style composite et très personnel, où se mêlent influences françaises et italiennes, notamment par l'utilisation de mélismes, coloratures et fioritures, très inspirés de Corelli. Les bariolages, très italiens, côtoient les agréments et les notes inégales à la française. 
Ces sonates nous interpellent par leur raffinement, leur élégance, leur sobriété. Le style, gracieux et fluide, où se mêlent tendresse et poésie, nous offre des lignes mélodiques expressives et sensibles. L'attention portée à la voix et le théâtre sont omniprésents, reflets d'une carrière entièrement consacrée à l'opéra. La musique y est profonde, ne cédant jamais à un excès de virtuosité.
Compositeur inventif, mélodiste accompli, Francœur mérite de retrouver sa place dans l'histoire de la Musique, aux côtés des grands compositeurs. 


Éléments biographiques

François Francœur est né le 21 septembre 1698 à Paris, fils de Joseph Francœur, contrebassiste à l'Opéra, maître à danser et membre des Vingt-quatre Violons du Roy. Formé par son père, Francœur intègre l'Académie Royale de Musique dès l'âge de 15 ans comme dessus de violon dans le Grand chœur de l'Opéra (1713), où il se lie d'amitié avec François Rebel (1701-1775), fils du célèbre Jean-Fery Rebel (lui même élève et grand admirateur de Corelli). Il compose alors son premier livre de sonates pour violon et basse continue.
Les deux jeunes musiciens entreprennent en 1723 un voyage initiatique à Vienne et Prague, où ils rencontrent et se forment auprès de Fux, Caldara, Quantz et Tartini. Ce dernier, maître incontesté du violon, eut probablement une grande influence sur Francœur dans son rapport à l'instrument et à la composition (cinq ans plus tard, Tartini crée une école de violon à Padoue, qui attire des étudiants du monde entier). Ce voyage scellera une amitié qui durera toute leur vie, et qui les amènera à mener une carrière associée pendant 49 ans.
Nourris de l'esthétique italienne de ces Maîtres, Francœur et Rebel reviennent à Paris et font leurs débuts en public au Concert Spirituel en 1726. Le Mercredy, les sieurs Rebel et Francœur, de l'Académie Royale de Musique, jouèrent une symphonie à deux violons qui fit beaucoup de plaisir. (Mercure de France, 1726).
La même année, Francœur et Rebel présentent sur la scène de l'Académie Royale de Musique leur première tragédie en musique, Pyrame et Thisbé, appelée l'opéra des deux François, ou l'opéra des enfants (en référence à leur jeune âge). La pièce lyrique rencontre un très vif succès. On la trouve si bonne qu'une rumeur se répand : les deux jeunes musiciens n'auraient-ils pas été aidés par leur vieil ami et Maître, Michel-Richard de Lalande (par ailleurs oncle de Rebel) - 
Forts de leur succès, Francœur et Rebel obtiennent en 1727 la charge de Compositeur de la Musique de la Chambre. L'année suivante, ils cosignent leur deuxième tragédie en musique, Tarsis et Zélie. En 1730, succédant à Jean-baptiste Sénaillé, Francœur devient membre des Vingt-quatre Violons du Roy, aux côtés de son père et de son frère Louis. Il signe alors son deuxième livre de sonates pour violon et basse continue.
Témoignage de sa place parmi les Grands, Francœur obtient en 1729 la consécration suprême : il est fait Chevalier du très prestigieux Ordre Royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem. Cette distinction était très rarement donnée à un musicien. Enfin, sa carrière sera couronnée par son anoblissement en 1764 par Louis XV.

Les années 1730 sont plus difficiles pour Rebel et Francœur. La notoriété de ce dernier est affectée par de nombreuses polémiques, sa vie privée étant l'objet de bien des conversations dans les salons mondains. Francœur se marie en 1730 à Elisabeth Adrienne Le Roy, fille de la célèbre tragédienne Adrienne Lecouvreur ; mais cette union se soldera rapidement par une séparation et de longs procès. 
Plus tard, son image se ternit encore dans une véritable tragi-comédie, quand il devient l'amant de Mlle Pélissier, une des grandes chanteuses de l'Opéra, elle-même courtisée par un riche financier israélite hollandais, le Sieur Du Lyz. Les rumeurs vont bon train, on raconte que Francœur se rend chez Du Lyz, en partance pour la Hollande. Il est menacé de défenestration par les domestiques, mais doit à Du Lyz d'être épargné. L'histoire fera l'objet de chansons, poèmes et chroniques peu avantageuses pour Francœur. Son nom sera chanté jusque dans la rue :
Un circoncis, pour me b.....,
M'offre mainte pistole,
Si j'allais le lui refuser,
Ce serait être folle.
Allons, Francœur,
Point de rigueur,
Il faut que je me rende.
- Hé bien, Manon, Rendez-vous donc ;
Mais partageons l'offrande.


Plus loin, on commente le point de vue de Du Lyz :
Je consens que de mes Ducats,
Francœur entre en partage,
Mais si de tes charmants appas,
Il fait encore usage,
Ma Pélissier,
Sans nul quartier,
Je le fais circoncire.
- Fi donc, rabbin !
C?est son engin,
Qui m'a servi de lyre.

(Chanson de Du Lyz, 1730)

La suite est malheureusement bien plus sombre. Du Lyz commande à son serviteur François Aline l'assassinat de Francœur pour quinze mille livres. L'homme de main, décrit comme un dés'uvré prêt à tout pour quelques pièces d'or, sera arrêté alors que le complot avortait, non loin de la rue Neuve des Petits-Champs où habitait le musicien. La justice, peu scrupuleuse, condamnera après un second jugement Du Lyz et Aline à avoir les jambes, cuisses, bras, et reins rompus vifs sur un échaffaut, qui pour cet effet sera placé en place de Grève en cette ville de Paris ; ce fait, leurs corps mis sur une roue, la face tournée vers le ciel pour y finir leurs jours, puis portés au gibet de Paris. Aline sera exécuté, quant à Du Lyz, on attacha à la potence le tableau portant son effigie.
Cette triste affaire ternira l'image de Du Lyz et de Francœur : le Chevalier d'honneur de la Pélissier sera considéré comme un personnage malpropre, ce qui contribuera probablement à son oubli au XIXe siècle, une époque où l'on cherche à préserver les convenances de la morale bourgeoise. Le début du XXe siècle s'en émeut encore : Lionel de la Laurencie, auteur de L'école française de violon de Lully à Viotti, choqué par la vie de Francœur, le présente comme un intrigant habile et insinuant, le type de l'arriviste du dix-huitième siècle.

Après ces sombres évènements, les œuvres de Rebel et Francœur ne séduisent plus autant le public : Le Ballet de la Paix rencontre un succès très mitigé, et la tragédie en musique Scanderberg se révèle être un échec sur le plan musical. Papillon de la Ferté, intendant des Menus Plaisirs, nota dans son journal que la représentation avait eu le plus grand succès, par la magnificence des habits et des décorations. Il reçut aussi de grands compliments sur l'opéra, mais on lui dit beaucoup de mal de la musique.
Mais Francœur saura se reprendre. Il entre à l'Opéra en tant que Maître de la Musique de Chambre du Roy en 1739, puis inspecteur adjoint (aux côtés de Rebel) en 1743. Il obtient la survivance de la charge de surintendant de la Musique en 1744 (après la mort de Collin de Blamont). La même année, Rebel et Francœur fêtent le retour de Louis XV avec deux divertissements Le Retour du Roy et Les Augustales.
L'année suivante, Rebel et Francœur composent Zélindor, roi des sylphes et Le Trophée, suivis de plusieurs ?uvres lyriques pour Versailles : La FélicitéIsmène, et Le Prince de Noisy.
En 1750, les deux musiciens sont impliqués malgré eux dans la Querelle des Bouffons, querelle entre partisans de l'opéra italien et défenseurs de la musique française. Francœur et Rebel se rangent du côté de Rameau, défendant le style français et les ?uvres du vieux Maître sur la scène de l'Opéra. Cette fidélité leur vaudra une pension de 1 500 livres en 1757.
À partir de 1750, Francœur, pour alléger sa charge, se défait de certaines fonctions : il quitte sa place de violoniste (1753), sa fonction de compositeur de la Chambre et son poste aux Vingt-quatre Violons (1756), ne gardant que la charge de Surintendant (jusqu'en 1776).
Libéré de la plupart de ses fonctions, Francœur obtient avec son inséparable collaborateur la concession de l'Opéra pour trente ans (1757). Malgré les difficultés rencontrées (déficit, manque de discipline, problèmes d'organisation, incendie en 1763), Francœur et Rebel y cosigneront dix-sept ?uvres lyriques, divertissements et ballets pour la scène de l'Opéra. Par la suite, Louis XV demandera à Rebel de devenir Administrateur général de l'Opéra (1772), position qu'il gardera jusqu'à sa mort, trois ans plus tard.
La mort de Rebel est un épisode très douloureux pour Francœur ; il se retire alors du monde musical (1776), vivant dans la solitude jusqu'à sa mort, le 5 août 1787, à Paris, après une difficile opération de la pierre.
À sa mort, Baucheaumont écrira de ce musicien facile et gracieux qu'il avait composé en société avec Rebel, la musique de plusieurs opéras et fait des choses agréables pour leur temps.

Emmanuel Rousson


Les ?uvres de François Francœur

1720 Premier livre de sonates à violon seul avec la basse continue.
1726 Pyrame et Thisbé, prologue et tragédie en musique en cinq actes.
1728 Tarsis et Zélie, prologue et tragédie en musique en cinq actes.
1730 Deuxième livre de sonates à violon seul avec la basse continue.
1735 Scanderberg, tragédie en musique en cinq actes.
1738 Le Ballet de la Paix, prologue et ballet héroïque en trois actes.
1744 Les Augustales, divertissement en un acte.
1745 Le retour du Roy, dialogue chanté.
1745 Zélindor, roi des sylphes, divertissement et prologue en un acte. 
1745 Le Trophée, divertissement à l'occasion de la victoire de Fontenoy.
1746 La Félicité, ballet héroïque en trois actes.
1747 Ismène, pastorale héroïque en un acte.
1748 Philémon et Baucis, opéra-ballet héroïque.
1749 Le Prince de Noisy, ballet héroïque en trois actes.
1750 Les Fragments (LinusAlmasisIsmène).
1751 Les Génies tutélaires, divertissement ou ballet en un acte, à l'occasion de la naissance de Monseigneur le duc de Bourgogne.
1753 Les Fées, comédie en trois actes, prologue et intermèdes.
1753 Le Magnifique, comédie avec prologue et trois intermèdes.
1769 Iphis et Iante, ballet héroïque en un acte.


Les sonates pour violon

Jusqu'au début du XVIIIe siècle, la flûte tient une place très importante en France, tant dans les pièces instrumentales que vocales. À l'inverse, le violon, instrument d'orchestre, instrument à faire danser, symbole de l'Italie, acquiert difficilement ses lettres de noblesse. 
D'ordinaire, les compositions de cette époque ne fixent pas l'instrumentarium, et laissent ouvert le choix du dessus : flûte, violon, hautbois- En témoignent les Concerts Royaux de Couperin. François Francœur, appelé Monsieur violon, fait partie de ces compositeurs entièrement dévolus au violon, et développe dans ses sonates une écriture typiquement violonistique, ne laissant aucune autre possibilité quant au choix de l'instrument (doubles cordes, ambitus'). Longtemps boudée par les Français, attachés à la suite de danses, la sonate italienne pour violon connaît un réel engouement et se développe avec l'essor de la musique de chambre, notamment dans la bourgeoisie. 
Sous l'impulsion de quelques compositeurs comme Duval, Sénaillé, Guillemain, Francœur, Couperin ou Leclair, une véritable école française du violon naît : la technique de la main gauche évolue, l'archet se perfectionne. Plus tard, Leclair sera salué comme le plus grand violoniste et compositeur pour le violon que la France ait jamais connu, l'égal du savoir-faire italien.


Notes sur la restitution de l'édition de 1733
Toutes ces notes sont signalées dans les partitions par des astérisques (*).

La présente édition a été préparée à partir d'une gravure datée de 1733, conservée à la Bibliothèque nationale de France. Les notations de rythmes, chiffrages, liaisons, articulations, ont été conservées telles que notées dans la gravure originale ; toutes corrections ou indications supplémentaires nécessaires à la bonne lecture ont été rajoutées [entre crochets] ou en pointillés.
Les signes de reprise notés sur la gravure d'origine ne semblent pas respecter les usages de l'époque : les mouvements de danse de forme binaire recevaient en principe des barres de reprise en fin de chaque partie ; a contrario, les reprises notées dans les adagio semblent peu probables, à l'exception des adagio de forme binaire. La présente édition retranscrit les reprises telles qu'elles sont notées sur la gravure d'origine ; il revient donc au musicien d'en faire le choix.
La courante est parfois orthographiée courente dans la gravure (sonates II, VIII et XII) ; cette notation a été conservée.

Sonate I, Gay 
Mesures 72, 73, 74 : dans la gravure de 1733, les triolets sont notés en triples croches.

Sonate II, Sarabande
Mesure 17, violon : dans l'édition originale, le do du premier temps dans la partie de violon est noté dièse, en désaccord avec la partie de basse chiffrée. L'alternance majeur - mineur - majeur est peu probable.

Sonate II, Rondeau
Mesure 86, basse : dans la gravure de 1733, l'accord du sol (2e temps) est noté 8 ; sans doute avec la volonté de noter la résolution de la neuvième. La basse n'étant pas conservée, cette résolution devient la sixte du sol (notée [6] sur cette édition).

Sonate III, Adagio
Mesure 3 : le rythme a été conservé comme sur l'édition d'époque (une valeur de croche supplémentaire sur la partie de violon).

Sonate III, Rondeau
Mesures 111, 112, 113, 114 : dans la gravure originale, le violon est noté en accords et en croches ; il semble plus probable de continuer à arpèger en doubles croches, en gardant le motif des mesures 107 à 110.

Sonate III, Rondeau
Mesures 141 : dans la partition d'origine, l'accord sur le premier temps est noté , impliquant un sol dièse au violon sur les premier et deuxième temps (et un sol bécarre en fin de mesure). Cette option est une possibilité différente de celle que nous proposons (chiffrage ). 

Sonate IV, Gigue
Dans l'édition d'époque, les triolets sont notés sans le numéro, comme fréquemment à cette période ; la présente édition respecte cette notation. 

Sonate VI, Adagio
Mesure 19 : dans la partition de 1733, les doubles entre le 3e et le 4e temps sont probablement à jouer en petites notes, choix fait dans la présente édition. 

Sonate VI 
Dans la gravure d'époque, l'Allemande est placée après la courante. L'ordre a été rétabli selon l'usage : Allemande, Courante, Sarabande.

Sonate VI, Rondeau
Mesure 37 : cette mesure a été rajoutée, pour conserver la tête de thème du rondeau et en respecter la métrique.
Mesure 63 : dans l'édition d'originale, l'accord est chiffré . 
La descente chromatique au violon semble plus probable.

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